Le travail temporaire a la cote et sert de tampon chez les employeurs en Suisse. Mais pendant que les entreprises peuvent réagir à l'incertitude économique, le système met les employés dans l'incertitude.
L'optimisme des Suisses en recherche d'emploi est monté d'un cran entre le premier et le troisième trimestre 2015. Plus d'un candidat sur trois estime désormais qu'il a de bonnes chances de décrocher un nouveau job d'ici la fin de l'année.
Pas de révolution en Suisse en ce qui concerne les stratégies salariales, mais une évolution. Mélodie Martin du groupe berney associés passe en revue les éléments à prendre en considération pour ajuster une politique salariale.
Beat Augstburger, directeur du personnel du groupe Frutiger, remet en question la pertinence du certificat de travail. Il plaide pour une attestation de travail. Son avis s’oppose à celui de Georg Lange, responsable HR-Business-Process chez Syngenta pour qui le certificat de travail demeure un outil clé.
La nouvelle convention collective de travail (CCT) doit entrer en vigueur en 2016. Les entreprises disposeront de davantage de flexibilité et les salaires minimums des collaborateurs seront plus élevés.
Beaucoup de recruteurs sont tentés de se rendre sur internet pour consulter le profil Facebook d’un candidat. Une idée qui a ses avantages et ses inconvénients.
Lors de l’entretien de présentation, 20% des candidats ne sont pas authentiques. Les recruteurs en seraient largement inconscients.
Les Français et les Allemands, nouvelles têtes de Turc des Suisses? Des recherches récentes suggèrent qu’ils sont effectivement pris pour cible sur leur lieu de travail.
Les clichés se confirment souvent sur le marché suisse du travail, selon une étude. Les hommes aspireraient majoritairement à un bon salaire ou à une promotion, tandis que les femmes seraient idéalistes et privilégieraient l'harmonie.