L'époque où proposer des salaires confortables ou des possibilités de promotion alléchantes étaient le meilleur moyen d'attirer les talents est révolue. Selon la dernière édition du Kelly Global Workforce Index, deux tiers des travailleurs helvétiques considèrent l'équilibre entre vie professionnelle et privée comme un facteur primordial lors du choix d'un nouveau poste.
Le 20 avril prochain, les locaux d’UniMail à Genève accueilleront une conférence intitulée «La bienveillance en entreprise: belle intention sans lendemain ou clé pour une nouvelle pratique du pouvoir?». Le point sur cette notion de plus en plus médiatisée avec Jean-Philippe Jacques, organisateur de l’événement.
Ils sont partout: à nettoyer les bureaux, à surveiller la moindre parcelle en construction, à tenir les caisses des supermarchés. Le pas alerte, des millions de retraités japonais travaillent encore. Et pas seulement pour arrondir leurs fins de mois.
Repenser l’environnement de travail de A à Z pour offrir davantage de bien-être aux employés: tel est le but du projet «EquiLibre» des Services Industriels de Genève (SIG). Plus de 600 employés sont concernés dans les locaux administratifs du Lignon et sur le terrain.
Il l’ignorait, mais le mathématicien philosophe Pythagore fut sans doute le tout premier des coachs pour managers et dirigeants, lorsqu’il affirmait: «Les deux mots les plus brefs et les plus anciens, oui et non, sont ceux qui exigent le plus de réflexion.»
Vous voulez davantage de bien-être au travail? Denise Medico nous propose pour cela de revisiter la question des genres en entreprise. Nous disons bien «genres» et pas «sexes»! Chercheuse, enseignante, psychothérapeute, mais surtout femme engagée, elle pourrait bien chatouiller certaines de vos convictions.