Berne (ats) La commission a dit non par 12 voix contre 11 et 1 abstention, a-t-elle indiqué dans un communiqué. Les entreprises doivent déjà proposer à leurs employés des solutions flexibles permettant de concilier vie de famille et vie professionnelle, si elles veulent rester concurrentielles, selon la majorité de la commission.
Le fait d'inscrire dans le code des obligations le droit de réduire le taux d'occupation constituerait une atteinte inutile aux règles libérales régissant le droit du travail, estime-t-elle encore.
La minorité n'est pas de cet avis. La possibilité de réduire le taux d'occupation est un point crucial d'une politique favorable à l'égalité. Elle peut aussi jouer un rôle pour lutter contre le manque de personnel qualifié.