Ce résultat révèle que, dans la majorité des cas, il reste des points d’attention et de non-conformité à évaluer. Ces derniers représentent des potentiels risques de réputation et / ou d’intégrité pour un employeur, souligne Aequivalent dans un communiqué.
Un échantillon représentatif de 3757 dossiers a été analysé pour l’année 2022, permettant d’identifier les évolutions suivantes au niveau de l’exactitude des déclarations et documents:
- Près de 5,5% des dossiers analysés affichaient clairement des fausses déclarations et donc des points de non-conformité, révélant un manque d’intégrité proche de celui des années précédentes (7,5% en 2021 et 6,9% en 2020).
- Le nombre de dossiers candidats contenant des inexactitudes ou autres points d’attention a augmenté de 7 points de pourcentage pour arriver à 65% en 2022 (58% en 2021 et 50% en 2020). Il s’agit ici de déclarations partiellement incorrectes, d’éléments annoncés par les personnes concernées lors du processus de «screening», ou encore d’un éventuel refus de transparence ou d’autorisation de vérification.