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L'entrée en vigueur de l'obligation d'annoncer les postes vacants en juillet a été pénible pour les entreprises, notamment en Suisse romande. "Elles n'avaient pas assez d'informations. Nous avons organisé des séances pour leur expliquer", a indiqué à AWP Béatrice Gallizzi, directrice d'Adecco Staffing pour la partie francophone du pays.

Optimiste pour l'évolution conjoncturelle de la Confédération, Economiesuisse va abaisser ses attentes en matière de taux de chômage. Ce dernier, jusqu'à présent attendu à 2,8% en 2018, sera ramené à "environ" 2,6%. La situation de plein emploi a cependant renforcé la pénurie de main d'oeuvre qualifiée.

Les salaires minimaux prévus par les lois cantonales ne s'appliquent pas aux travailleurs détachés. Fort ce constat, le Conseil fédéral déclare ne pas pouvoir agir davantage dans le cadre des mesures d'accompagnement.

La pénurie de main d'oeuvre qualifiée continue de créer des tensions sur le marché de l'emploi en Suisse, selon la dernière enquête de Manpower. Parmi les professions les plus recherchées figurent les électriciens, les soudeurs ou encore les mécaniciens.

Unia a dénoncé le recours massif à des travailleurs temporaires sur les chantiers genevois. Ces ouvriers représentent parfois la majorité des troupes. Le syndicat demande au monde politique d'agir pour ramener la proportion de temporaires à 10%.

Adecco a vu sa croissance ralentir au deuxième trimestre et a subi une baisse de 11% du bénéfice net. Mais le numéro un mondial du travail temporaire a beaucoup investi dans la numérisation de ses activités et compte en tirer les bénéfices dans les prochains mois, dans un contexte très porteur en Suisse en particulier.

Adecco, numéro un mondial du travail temporaire, veut aussi devenir le leader du placement de personnel fixe. "Notre par de marché atteint 2%", a déclaré dans une interview au journal Handelsblatt, Alain Dehaze, le directeur général du groupe zurichois.

La migraine a des effets dévastateurs sur la productivité au travail. Selon une étude menée par Novartis et l'Alliance européenne contre la migraine et les maux de tête (EMHA) entre septembre 2017 et février 2018 sur plus de 11'000 personnes réparties dans plus d'une trentaine de pays, six employés sur dix souffrant de cette maladie sont absents en moyenne une semaine par mois.