Le nouveau magazine HR Today est sorti! Le dossier de cette édition explore les mécanismes du changement en entreprise et le rôle des RH pour mieux accompagner ces processus.
Démissions, grèves, négociations salariales, nominations, droit du travail: chaque semaine, hrtoday.ch sélectionne les meilleures dépêches de l'ats (Agence télégraphique suisse) en lien avec l'actualité RH suisse et internationale.
En Europe, partager son bureau est devenu la norme: moins d'un tiers des salariés dispose d'un espace individuel, le reste se partage des lieux collectifs comme l'open-space. Selon une étude publiée mardi, cette situation cause des insatisfactions.
Travailler pendant une longue période en horaires décalés, notamment la nuit, accélère le vieillissement cognitif, selon une étude. Ce genre d'emploi est déjà suspecté de jouer un rôle dans divers problèmes de santé comme les ulcères, maladies cardiovasculaires ou autres cancers.
C'est un constat : l'entreprise constitue une communauté humaine artificielle. Elle diffère en cela d'autres, plus naturelles, comme la famille, le quartier ou le village. Ou encore de celles issues d'une élection, comme le club ou l'association.
De plus en plus d’entreprises se posent la question de l’instauration d’un dress code ou vêtement d’image pour leurs employés. Cette progression s'accélère dans les sociétés de service, car il fait partie de leur identité visuelle face à la concurrence.
Vingt entreprises ont décroché cette année le label « Friendly Work Space ». Cette distinction leur a été remise par Promotion Santé Suisse afin de récompenser leurs efforts systématiques pour optimiser leur politique dans le sens de conditions de travail favorables à la santé.
L'importance du travail en équipe croît en même temps que la technicisation, conclut Randstad. Selon la dernière édition d'une enquête menée auprès de salariés, plus de 60% des employés consacrent aujourd'hui plus de temps à la coopération avec leurs collègues qu'il y a cinq ans.
Les niveaux hiérarchiques sont de plus en plus dilués, les collaborateurs toujours plus accessibles (via e-mails, sms, réseaux sociaux et culture d’entreprise où le tutoiement prévaut). Le manager ne peut donc pas jouer son rôle de filtre dans toutes les situations et les collaborateurs ne savent pas toujours dire non à la demande d’une personne placée plus haut dans l'organigramme. De même, il semble tentant, lorsque l’on n’a pas eu gain de cause avec son supérieur direct, de formuler ses demandes directement à son N+2. Ce genre de situations déstabilise le chef de proximité et peut, à terme, le rendre inopérant sur le groupe. Une clarification des rôles s’impose.