Pour la sixième année consécutive, Google prend la tête du classement mondial des employeurs les plus attractifs réalisé par Universum. Quatre entreprises suisses figurent dans le top 50: il s'agit de Nestlé (20e), Credit Suisse (32e), UBS (40e) et Novartis (48e).
SV Group, la Liechtensteinische Alters- und Krankenhilfe (LAK), l'hôtel Hof Weissbad et ipt Innovation Process Technology sont considérés par leurs collaborateurs comme les meilleurs employeurs de la Suisse et du Liechstenstein. Ces quatre entreprises ont reçu dans leur catégorie respective le 14e Swiss Arbeitgeber Award.
La pénurie de talents qui sévit dans l'industrie des machines, des équipements électriques et des métaux (MEM) risque de s'aggraver avec l'introduction de contingents pour les travailleurs étrangers. Soucieuse de continuer à pourvoir les postes qualifiés, Swissmem a concocté une stratégie visant à mieux exploiter le potentiel de la main-d'oeuvre indigène.
Les chercheurs suisses pourront dès lundi participer à nouveau au programme européen "Horizon 2020". Du moins provisoirement, et partiellement. Seuls les meilleurs vont pouvoir prétendre aux bourses mises en jeu par le Conseil européen de la recherche (CER).
Beaucoup de choses se disent et s'écrivent sur la Génération Y. Un Y qui se prononce «why» en anglais et signifie : pourquoi? Permettez-moi humblement d'essayer de voir clair dans cette profusion, qui n'est peut-être que confusion.
Dans une économie de plus en plus tendue, où les RH sont davantage perçus comme des centres de charges, comment s’assurer de la pertinence des processus RH tels le recrutement, la promotion, la relève ou encore la gestion des talents?
Près de la moitié des travailleurs se plaignent de stress à travers la planète. La coach Ellen Kocher fait le point sur ce fléau, ainsi que sur l’approche des trois piliers qu’elle a développée à l’intention des entreprises.
Répartie sur 14 sites, l’équipe RH (54 collaborateurs) du géant Implenia (construction) doit compter avec plus de 70 nationalités. Le DRH Thomas Foery évoque cette diversité dans le secteur de la construction.
La question de la frontière entre vie privée et professionnelle et surtout de sa porosité n’a pas la même portée d’une culture à l’autre; si le débat est plus prégnant dans certains pays européens qu’aux Etats-Unis par exemple, cela tient à une certaine idéologie de l’accomplissement personnel, une histoire sociale du travail et des rapports parfois conflictuels qui l’entourent.
Alors que Bruno Weber-Gobet, qui dirige l'unité "formation" auprès de Travail.Suisse, estime qu'il est du ressort des entreprises de contribuer à financer la formation continue, Martin Kuonen, directeur du Centre patronal à Berne, est de l'avis contraire.