Les spécialistes en logistique ont décroché la palme de la demande sur le marché de l’emploi en 2018. Les développeurs IT suivent de près, comme le révèle la dernière édition de l'année du Swiss Job Index de Michael Page.

Le processus dure depuis des semaines, parfois des mois, vous avez été interviewé par tout le collège de direction, aucune pierre n’a été laissée sans être retournée, vos références ont toutes été appelées, vous vous êtes mis d’accord sur la rémunération, le titre, la fonction, la date de début, peut-être même sur la couleur de votre future voiture de fonction.

«Parmi les obstacles au retour à l'emploi, les participants mentionnent une absence de réponses aux candidatures envoyées.»

La formation continue comme facteur de succès: tout le monde en parle. L’équipe de temptraining œuvre depuis plus de six ans pour la formation des travailleurs temporaires. Une mission importante et significative, mais pas toujours simple.

Insatisfaction chronique, peu de possibilités d’évolution de carrière ou simplement le besoin d’accumuler de nouvelles expériences: les raisons qui poussent un employé à postuler ailleurs sont nombreuses. Que faire par contre si l’employeur découvre que son collaborateur cherche activement un nouveau poste?

«La frontière entre employeurs et employés devient de plus en plus souple», a souligné Myra Fischer Rosinger, directrice de swissstaffing, en introduction aux festivités du cinquantième anniversaire de l’association faîtière du travail temporaire en juin dernier au Kuursaal de Berne.

Deux entrepreneuses neuchâteloises ont lancé en 2017 les Cafés Pro. Une manière de rencontrer des candidats, sans filtre ni discrimination.

Quels sont les enjeux et les atouts du recrutement d’un jeune à l’issue de sa formation? Décryptage avec le programme Jeunes@Work qui fête ses 10 ans cette année.

Nathalie Brodard, fondatrice du cabinet de recrutement Brodard Executive Search, analyse l’évolution du métier et donne quelques ingrédients qui font la qualité d’un recrutement réussi.

«Better the devil you know than the devil you don’t». Ce dicton soutient la thèse qu’il vaut mieux connaître les défauts d’une personne que de les découvrir avec le temps (et de se bercer d’illusions qu’il n’y en a pas).