Les nouvelles formes de gouvernance sont souvent mal accueillies. Et ce pour diverses raisons, souvent subjectives, telles que la peur du changement, la perte des repères habituels et des structures hiérarchiques, le scepticisme ou encore la crainte de ne plus avoir de contrôle sur les employés. Les «entreprises libérées», par exemple, ont fait l’objet de jugements moqueurs ou méprisants issus d’une image souvent caricaturale.
Le contexte très particulier de la crise sanitaire actuelle impacte largement les entreprises et leurs employés. De nombreuses questions de droit se posent aux employeurs et responsables RH. Dans ce cadre, la société BDO a compilé sur une page web les questions les plus fréquemment posées ces derniers mois. Et les réponses qu'elle a apportées. Morceaux choisis avec Nicolas Duc, Responsable Fiscalité et Droit Suisse romande.
Les méfaits de l’absentéisme, fléau qui touche bon nombre d’entreprises, sont bien connus. Mais ceux du présentéisme sont encore pires! Alors que dans l’esprit de beaucoup de gens, le présentéisme c’est venir travailler même si on est malade, c’est en fait une réalité plus large, pouvant prendre de multiples formes peu étudiées jusqu’ici. Elles ont un aspect commun: les personnes sont présentes mais non efficaces.