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Le travail temporaire ne cesse de croître en Suisse. La demande en la matière a crû de près de 10% en moyenne, ces 20 dernières années, selon une enquête de swissstaffing, l'association de la branche du travail intérimaire.
 

Depuis peu, les entreprises suisses peuvent recourir plus facilement au chômage partiel en cas de baisse du volume de travail liée au renforcement du franc. Davantage de demandes d'indemnités ont été déposées auprès de la Confédération et les premiers effets de la mesure se font ressentir dans certains cantons.
 

Pour rester concurrentiel face au franc fort, Feintool va allonger la semaine de travail de certains salariés d'une demi-journée. Le spécialiste bernois des composants, du formage et du découpage de métaux va aussi cesser temporairement d'engager du personnel.
 

Pour mettre en oeuvre l'initiative contre l'immigration de masse, le président d'economiesuisse, Heinz Karrer, propose d'instaurer une clause de protection. Cette dernière agirait de manière temporaire et serait utilisée dans certaines situations uniquement.

La Confédération n'entend pas intervenir sur le marché des places d'apprentissage pour l'heure. L'offre est actuellement plus forte que la demande. Fort de ce constat, le Conseil fédéral estime qu'aucune nouvelle mesure ne s'impose. Tout au plus s'agit-il d'adapter les instruments existants en fonction de nouveaux enjeux.

Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté dans les rues de Rome, à l'appel du plus grand syndicat italien. Elles dénonçaient le projet de réforme des lois régissant le marché du travail, qui assouplit notamment la protection des salariés.