Alors qu’à leur demande j’essayais d’expliquer à des enseignants, formateurs de futurs cadres internationaux, que le bien-être ou la santé psychique est un moteur essentiel de la vraie motivation et de la performance pérenne, je fis face à deux incroyables croyances, intrinsèquement toxiques.
J’ai récemment eu en entretien un jeune homme de 25 ans. Lorsque je lui ai demandé s’il avait la sensation de bien utiliser ses compétences dans son job, il a répondu: «Je préfère les utiliser dans mes activités extra-professionnelles».