«Better the devil you know than the devil you don’t». Ce dicton soutient la thèse qu’il vaut mieux connaître les défauts d’une personne que de les découvrir avec le temps (et de se bercer d’illusions qu’il n’y en a pas).
L’autre jour ma fille, étudiante à l’école hôtelière de Lausanne, me dit en se levant le matin: «Tu sais maman, c’est injuste, il n’y a vraiment pas d’égalité entre femmes et hommes!»