Les RH et le changement

Qu’ils soient employés ou dirigeants, la majorité des actifs helvétiques souhaiteraient que les cadres soient élus démocratiquement. C’est ce qui ressort de la dernière édition de l’étude «Leadership en Suisse».

Témoignage tout récent d’un chef de service actif au sein d’une multinationale: «Si tu es apprécié de tes subordonnés, tu crées immédiatement le doute dans l’esprit de ta hiérarchie, qui te soupçonne d’être trop gentil avec ton équipe, de ne pas placer la barre assez haut, voire d’être permissif, laxiste et inconsistant. Un mou, quoi…».

Interview réalisée en marge du portrait de Pascal Gueissaz et Frank Gerritzen (Du business au bivouac) publié dans l'édition 4-2016 de la version française de HR Today. Interview: Marc Benninger. Images et montage: Pierre-Yves Massot. Droits: jobindex media ag.

Mardi matin, 7h30: tout excité, Roxy se prépare à aller travailler. Comme tous les deux jours, ce border collie de 3 ans accompagne Alex, son propriétaire, au bureau. Pour le plus grand bonheur du chien comme celui du propriétaire.

Si elles sautaient dans le train de la digitalisation RH, les PME suisses pourraient réaliser des économies de l’ordre de 130 millions de francs par an. C’est la conclusion interpellante de l’étude «Personalmanagement Trends 2016», menée par jacando en partenariat avec HR Today et l’Association suisse des PME.

Le marché du travail a fait preuve de dynamisme en août. En comparaison annuelle, le nombre d’offres d’emploi publiées en Suisse a bondi de 18,4%, selon la dernière édition du Swiss Job Index de Michael Page.

Sans doute avez-vous, tout comme moi, voulu y croire un jour, de toute votre énergie positive. Peut-être avez-vous été aussi enthousiasmé que je le fus, la toute première fois que vous en avez entendu parler. Ne serait-il pas tellement simple en effet, si pratique, si élégant et si merveilleux d’aller puiser à sa source la panacée, l’élixir systémique, l’universelle solution à toute situation?

En Suisse, les personnes migrantes hautement qualifiées originaires d’Etats tiers sont nombreuses à occuper des postes sans rapport avec leur métier, quand elles ne sont pas purement et simplement sans emploi. Par exemple, une informaticienne syrienne sera employée aux cuisines d’un hôpital, tandis qu’un employé de commerce sri-lankais travaillera dans un kiosque. Leurs compétences restent ainsi sous-employées. L’EPER, l’œuvre d’entraide de la Fédération des Eglises protestantes de Suisse, lance une campagne par laquelle elle souhaite inciter les entreprises à prendre en considération ces candidatures.
 

Avec l’avènement du Web, du Cloud et du Big Data, les recruteurs se retrouvent face à un marché en pleine mutation technologique, avec de nouveaux codes intégrant le digital. Le métier a évolué avec une nouvelle génération de recruteurs, utilisant toutes les dernières technologies dans leur processus (plateformes de recrutement en ligne, forums de recrutement virtuel, CV 3.0, etc.).

Davantage que l’attractivité des prix, c’est la simplicité et la rapidité de la procédure qui motivent les entreprises à se rendre sur les portails en ligne pour réserver leurs voyages d’affaires. Plus d’une société sur deux considère en effet l’ergonomie d’un tel portail comme principal critère de choix.