Le nouveau magazine HR Today est disponible! Le dossier de cette édition revient sur les enjeux de la gestion des ressources humaines dans les PME.
Alors que l’hiver est là, que les jours raccourcissent de plus en plus et que la lumière nous fait défaut, voici quelques exercices pour vous redynamiser au bureau.
La communication n’est ni positive ni négative, elle nécessite avant tout de tenir compte des objections du récepteur de notre message. La puissance des mots est à double tranchant.
Les cinq femmes de l’équipe RH de Jobcloud, le plus grand portail emploi de Suisse, ont des personnalités différentes et une cause commune. La DRH Tanja Vollenweider évoque ici les défis et les rituels qui les unissent.
Chef du Service de psychiatrie communautaire du CHUV, le professeur Jacques Besson détaille ici les mécanismes de l’épuisement professionnel des dirigeants. Il montre aussi comment la spiritualité permettra de briser ce cercle vicieux.
Confession. J’ai décidé que cette chronique devait être la dernière. Après? Années de provoc-actions. A cette occasion, j’aimerais dire les dons que j’ai reçus des personnes au féminin. Ce que je dois aux femmes et que je me dois de reconnaître et de célébrer. Avec dans l’idée qu’un mâle, une personne au masculin, doit se libérer de ses angoisses et de sa violence en se laissant apprivoiser et élever par un féminin pluriel.
"Je vous demanderai de bien vouloir envoyer 580 francs à M. Reynaldo Hahn", écrit Marcel Proust à sa banque Rothschild en 1906. Il s'agit de l'un des milliers de documents conservés aux archives nationales du monde du travail à Roubaix, dans le nord de la France.
Marielisa Autiery et Kim Fellay ont consacré leur Mémoire de Master en psychologie du travail à l’Université de Neuchâtel aux effets du commérage dans une équipe d’hôtesses lors d’un salon automobile.
Le baromètre RH 2016, réalisé par l’Université de Zurich et l’EPFZ, relève qu’environ 60 % des employés suisses déclarent développer, comme malgré eux, une attitude désenchantée, réprobatrice, voire cynique, à l’encontre de leur employeur ou de leur manager. Deux causes principales sont évoquées: les relations difficiles entre collègues et/ou avec leurs supérieurs, ainsi que les promesses non tenues de ces derniers. La Suisse, bastion du respect de la personne et de l’agrément consensuel, n’échappe donc pas à cette pandémique détresse salariale: se rendre au travail chaque matin, résigné à gagner sa vie et celle de ceux qu’on aime, en plongeant dans un environnement objectivement difficile, hostile ou malveillant, angoissant, tétanisant ou conflictuel.
Imaginez-vous ce candidat (cas récent et vécu) de 50 ans, compétent, apprécié, dans une industrie solide, en croissance, sans risque de «charrette». Il est satisfait, a progressé dans sa carrière, mais l’horizon hiérarchique est bouché. Ces éléments, ajoutés à une certaine lassitude, lui donnent envie d’aller butiner ailleurs. Clair, simple, normal. Ce qui est plus surprenant, c’est qu’avant de venir voir un spécialiste du recrutement, il n’a rien fait pour arriver à ses fins. Il va y avoir un peu de travail.