En cette période automnale, les nuages s'accumulent sur l'horlogerie. Alors que les annonces de licenciements s'accélèrent, les spécialistes de la branche ne voient pas d'amélioration imminente à l'horizon, mais ne cèdent pas pour autant à la panique.
Plus que jamais, les directeurs RH suisses ont le devoir de contribuer à la réussite de l'entreprise. Cette exigence est devenue particulièrement évidente depuis la hausse du franc suisse. Les résultats du Global Human Resources Barometer de Michael Page le confirment.
Près de la moitié des emplois en Suisse seront remplacés par des machines d'ici vingt ans. Telle est la conclusion d'une étude du cabinet de conseil Deloitte pour le compte de l'émission "Eco" de la télévision alémanique SRF.
Le travail temporaire a la cote et sert de tampon chez les employeurs en Suisse. Mais pendant que les entreprises peuvent réagir à l'incertitude économique, le système met les employés dans l'incertitude.
L'optimisme des Suisses en recherche d'emploi est monté d'un cran entre le premier et le troisième trimestre 2015. Plus d'un candidat sur trois estime désormais qu'il a de bonnes chances de décrocher un nouveau job d'ici la fin de l'année.
Pas de révolution en Suisse en ce qui concerne les stratégies salariales, mais une évolution. Mélodie Martin du groupe berney associés passe en revue les éléments à prendre en considération pour ajuster une politique salariale.
Beat Augstburger, directeur du personnel du groupe Frutiger, remet en question la pertinence du certificat de travail. Il plaide pour une attestation de travail. Son avis s’oppose à celui de Georg Lange, responsable HR-Business-Process chez Syngenta pour qui le certificat de travail demeure un outil clé.