Lancée ce printemps par la société CEPEC, spécialiste des rémunérations, l’enquête nationale sur les Fringe Benefits livre ses premiers résultats: ces avantages profitent à tous les niveaux hiérarchiques. Les différences majeures concernent les caisses de pension, les frais de représentations, les voitures d’entreprises et le droit aux vacances notamment. 

Poste budgétaire de poids, facteur d’image important, la prévoyance professionnelle est trop souvent laissée de côté par les DRH et très souvent nébuleuse pour les collaborateurs. Pouvant représenter jusqu’à 20 pour cent de la masse salariale, elle devrait au contraire être mieux mise en valeur et servir comme un outil de fidélisation. 

Pas un jour ne se passe sans que la presse ne se fasse l’écho de pertes colossales annoncées par des sociétés. Or, paradoxalement, ces dernières années, les rémunérations et bonus des traders et managers n’ont jamais été aussi élevées. Selon plusieurs experts, la solution serait de bloquer une part de la rémunération en bonus sur une période de deux ans.

En partenariat avec HR Today, la société CEPEC, spécialiste des rémunérations, lance une enquête nationale sur les «fringe benefits». Facteur de coût important pour les entreprises, les «fringe benefits» sont en passe de devenir un outil important pour augmenter l’attractivité des employeurs. D’où l’importance d’un benchmarking national.