L’augmentation de la charge de travail dans les équipes s’intensifie dans la plupart des organisations. Désormais le mot d’ordre est d’en faire toujours plus avec toujours moins! Le management, assommé par la surcharge, ne peut se concentrer sur son activité de base et perd le contact avec le terrain. Il faut dès lors apprendre à déléguer.
Les services suisses de l’emploi sont dans une situation critique: une bonne main-d’œuvre en provenance de l’étranger est une urgente nécessité, mais l’immigration ne rencontre pas suffisamment d’acceptation au sein de la population. Lors du staffingday du 17 juin 2013, la discussion a été vive au sujet des tensions créées par l’immigration.
Quelles sont les conditions de validité de la clause de prohibition de faire concurrence? Quelles sont les limites? Quelles sont les conséquences d’une clause excessive? Quelles sanctions en cas de violation? Lumière sur une clause essentielle pour protéger l’entreprise.
La psychanalyse plutôt que le comportementalisme. Car ce dernier réduit les personnes à des échanges de flux d’information physico-chimiques, ne laissant qu’une part extrêmement congrue à toute tentative pour penser l’originalité, la créativité, l’indépendance d’esprit et le sens moral de la responsabilité.
HR Today a demandé à trois personnalités, qui connaissent bien la vie en entreprise, de nommer un tabou en organisation et d’en détailler les mécanismes. Voici donc trois témoignages édifiants.
L’un des deux acteurs principaux de la grande distribution suisse a lancé un projet d’intégration de personnes en situation de handicap dans six grandes surfaces de Suisse romande. Grâce à un partenariat avec six fondations parapubliques, une soixantaine de postes de travail ont été créés. Les acteurs livrent ici leur témoignage.
«Advance - Women in Swiss Business» espère multiplier par cinq le nombre de femmes cadres à l'horizon 2020
Il existe trois sortes de cadres: d’abord les experts qui savent faire. Ensuite les managers qui, eux, savent faire faire. Enfin les leaders qui donnent envie de faire, autrement dit qui sont source d’inspiration.
En Suisse, les filles continuent à être orientées préférentiellement vers des métiers «féminins» – les métiers du soin, par exemple, moins prestigieux et moins rémunérés – , et les garçons vers les métiers «masculins» – les métiers de l’ingénierie notamment.