La Vaudoise Assurances vient d’être nommée parmi les meilleurs employeurs de Suisse romande. La DRH Kristel Rouiller détaille les raisons derrière cette distinction et parle de ses défis futurs.
Nous voici désormais en l’an de grâce 2018. Vous voilà déjà revenus à la rassurante panique routinière de la rentrée de janvier et à ses rituels anxiogènes. 2018 marquera cependant une nette rupture par rapport à la décennie précédente dans ses dimensions technologiques et dans les rapports entre l’humain et les organisations.
Demain, dans un contexte de plus en plus globalisé, avec une compétitivité croissante et une forte pression sur les marges, notre avantage compétitif sera la qualité de nos ressources humaines. Cette réalité n’est pas nouvelle, mais elle va prendre une importance primordiale.
Le terme «entreprise libérée» est un fourre-tout. Popularisée par l’ouvrage d’Isaac Getz et Brian M. Carney «Liberté & Cie» (2009), puis par la diffusion sur Arte du reportage «Le Bonheur au travail», l’entreprise libérée mérite d’être définie avec précision. Voici les fondamentaux.
En droit suisse, la protection de la personnalité du travailleur – y compris la protection de la santé du travailleur – est notamment réglementée par le Code des obligations (CO), la loi sur le travail (LTr), la loi sur l’assurance-accidents (LAA) et la jurisprudence.
Des chercheurs de la HEIGVD publient ici les résultats d’une évaluation pilote des performances collectives dans un EMS genevois.
DRH du groupe industriel LEM à Genève, Claudia Noth détaille ici les composantes majeures de leur dispositif d’entretien annuel.
Nous publions ici la synthèse de la 1ère Université d’été de la communauté HR Factory sur les entretiens d’évaluation. Ces idées devraient permettre de redynamiser ce processus.
Consultante en transformation numérique, Aline Isoz se décrit comme«le fusible qui accepte de sauter à la fin du projet». Rendue célèbrepar son blog sur Bilan, elle raconte ici sa dernière régénération.
Alors que les débats sur la laïcité et le fait religieux semblent monter en puissance dans nos sociétés, la réalité nous montre que la sécularisation qui s’opère depuis plusieurs décennies n’a pas réussi à «gommer» la dimension «sacrée» qui marque de son empreinte nos actions, qu’elles soient personnelles ou professionnelles.