La sécurité au travail et la protection de la santé (STPS) est une obligation légale qui incombe à l'employeur, mais qui peut surtout lui être financièrement bénéfique et créer un avantage concurrentiel.
Le personnel d'entreprises cotées est parfois le dernier au courant lors de rachats ou de licenciements. Par peur d'être sanctionnées par la Bourse suisse, certaines firmes informent d'abord la presse et la bourse, hors heures de cotation. Pourtant, toutes les parties interrogées estiment qu'il est possible d'avertir le personnel simultanément, voire même avant.
Davantage que le niveau du salaire, c’est l’équilibre entre travail et vie privée qui motiverait une personne active à opter pour une entreprise plutôt qu’une autre: c’est ce qui ressort de plusieurs recherches récentes. Autant d’études auxquelles les conclusions d’Universum, qui a interrogé plus de 5000 travailleurs suisses, viennent tordre le cou.
Tout droit sortis d’une haute école, tout fraîchement équipés de leur Bachelor, ils se lancent dans la course au Master. Leur mémoire est un formidable travail qui les a mobilisés des dizaines d’heures.
Démissions, grèves, négociations salariales, nominations, droit du travail: chaque semaine, hrtoday.ch sélectionne les meilleures dépêches de l'ats (Agence télégraphique suisse) en lien avec l'actualité RH suisse et internationale.
Un week-end pour convaincre tous ses collègues de renoncer à leur prime afin qu'elle puisse elle-même conserver son poste: dans "Deux jours, une nuit", Sandra, le personnage principal, est confrontée en l'espace d'une cinquantaine d'heures à toute la palette des relations employés-employés et employeur-employé. Un film à (re)voir en DVD.
Comme tout être vivant, chaque groupe humain, chaque communauté constituée en une entreprise peut héberger, depuis sa création, des toxines, des virus ou des poisons. Il s'agit de comportements, d'habitudes ou d'attitudes, de croyances ou de réflexes portés par tous et chacun au sein de cette communauté artificielle.
Peter Offtermatt et Antoinette Weibel croisent le fer sur la pertinence de la courbe de Gauss pour évaluer les collaborateurs.
Le travailleur demandait à ce qu’il soit fait mention dans son certificat de travail qu’il avait travaillé «à notre entière satisfaction» en lieu et place de «à notre satisfaction ». Il estimait que cette dernière expression avait une connotation négative et était usuellement employée pour qualifier des prestations de travail peu satisfaisantes.