Le travail au noir pourrait représenter 47 milliards de francs par année en Suisse. Tandis que la sécurité de l’emploi s’effrite, la lutte contre ce fléau vient d’être renforcée. Décryptage.
Les employeurs suisses s'attendent à voir le marché de l'emploi tourner au ralenti jusqu'à fin 2018. Davantage d'entreprises envisagent une contraction de leurs effectifs pour les trois derniers mois de l'année. La tendance varie selon les régions et les secteurs d'activité, mais la prévision d'emploi est à son plus faible niveau depuis fin 2013.
Les diplômés d'une université de Suisse alémanique ont plus de chances de trouver un emploi que les diplômés de Suisse romande ou italienne. De nouveaux chiffres de l'Office fédéral de la statistique (OFS) mettent en avant les inégalités entre les diplômés.
La Suisse arrive en huitième position des destinations préférées pour les travailleurs étrangers. Par contre, pour les travailleurs suisses, l'attrait d'un poste de travail hors du territoire a décru, selon une étude du cabinet de conseil Boston Consulting Group (BCG).
L’obligation de communiquer les emplois vacants entre bientôt en vigueur. Son but est de stopper l’immigration de masse. Immigration de masse? Le nombre de migrants est très faible à l’heure actuelle.
Combien de fois avez-vous eu cette impression en sortant d’une interview de ne pas savoir ce que vous deviez penser de ce qui venait d’être dit ou, plus désagréable encore, le sentiment que les acteurs de l’échange avaient chacun joué leur partition mais que, pour une raison non explicite, ils semblaient jouer un air différent?
Imaginez... une épidémie de grippe sévit dans un hôpital et une partie du personnel est clouée au lit. Sans travail temporaire ni personnel intérimaire, impossible d’offrir aux malades hospitalisés les soins, l’assistance et les traitements nécessaires.
Le marché du recrutement Suisse romand est impacté par les nouvelles technologies et les nouvelles formes d’emploi. Ces tendances ont relativement peu d’impact sur les prix.
L’âge et l’ancienneté du travailleur suffisent-ils à rendre son licenciement abusif? Le travailleur peut-il prétendre, par principe, à recevoir une indemnité correspondant au maximum légal de six mois de salaire?