La sécurité au travail et la protection de la santé (STPS) est une obligation légale qui incombe à l'employeur, mais qui peut surtout lui être financièrement bénéfique et créer un avantage concurrentiel.
La structure de l’emploi des organisations se modifie. Les entreprises font de plus en plus appel à des externes. Elles adaptent leurs besoins en personnel de manière flexible selon les projets et les missions. C’est ce que montre une étude de la haute école spécialisée du nord-ouest de la Suisse (FHNW). Les auteurs en ont discuté lors d’une table ronde en ligne en janvier 2021.
Le voyagiste Globetrotter a demandé à ses collaborateurs de désigner les personnes qui seront licenciées. Manque de courage, carence managériale ou idée innovante? Trois experts en débattent.
Dans cet ouvrage critique, le sociologue français montre comment la finance et l'économie sont devenues les finalités uniques de nos sociétés postmodernes.
Le salaire minimum légal a le vent en poupe. Quatre cantons en ont déjà introduit un. Des initiatives ont été lancées dans plusieurs autres cantons. Pourtant, le 18 mai 2014, le peuple suisse a clairement rejeté un salaire minimum à l’échelon national (76 pour cent). Que s’est-il passé? Comment s’explique cette nouvelle sympathie pour un salaire minimum ancré dans la loi? Et quels sont les problèmes qu’il est censé résoudre?
Le suivi des heures des collaborateurs est une tâche régalienne de la fonction RH. Ce travail s’effectue de plus en plus grâce à des applications digitales. Ces outils ne résolvent pourtant pas tous les problèmes.
Comment créer un système salarial qui ne soit pas basé sur une position hiérarchique? Chez Liip, nous avons développé notre propre système afin qu’il corresponde à nos valeurs ainsi
qu’à notre structure organisationnelle agile et auto-organisée.
Comment le droit du travail régit le télétravail en Suisse? Tour de plusieurs points sensibles: horaires, enregistrement du temps de travail, protection de la santé, frais et confidentialité.
Le télétravail forcé lié au semi-confinement a révélé l’obsolescence des pratiques managériales basées sur le contrôle et le présentiel. De plus en plus, les collaboratrices et collaborateurs choisiront librement quand, où et comment réaliser leurs tâches.
La société individualiste et consommatrice dans laquelle nous vivons aujourd’hui est gourmande en matériaux, en énergie et en espace. Nous savons aujourd’hui – souligné par la crise COVID-19 – qu’il est nécessaire de repenser nos modes de vie pour une transition écologique en concordance avec notre environnement.
La pandémie a accéléré la reconfiguration des espaces de travail. Désormais, les collaborateurs souhaitent choisir entre le Home Office, le bureau et les espaces de coworking. Trois experts analysent ces changements.