Articles
Cette semaine, je donnais un téléséminaire (il paraît que le mot existe) à une vingtaine d’employés d’une grosse multinationale. Invit Outlook, MS Teams, bref, le quotidien d’un télétravailleur. Observant avec amusement la mosaïque de visages studieux des participants, je me demandais combien de temps il faudrait à quelques webcams pour arrêter de fonctionner.
Les nouvelles formes de gouvernance sont souvent mal accueillies. Et ce pour diverses raisons, souvent subjectives, telles que la peur du changement, la perte des repères habituels et des structures hiérarchiques, le scepticisme ou encore la crainte de ne plus avoir de contrôle sur les employés. Les «entreprises libérées», par exemple, ont fait l’objet de jugements moqueurs ou méprisants issus d’une image souvent caricaturale.
Vous arrivez au bout du processus de recrutement et l’on vous promet l’envoi d’un contrat de travail dans les jours à venir. Et c’est tout à coup le flash: le job, je l’ai, cela ne dépend plus que de moi. Maintenant c’est du concret, il va falloir sérieusement se poser la question «J’accepte ou je refuse?».