Les quotidiens romands ont annoncé récemment la création d’équipes de responsables d’office de poste actives dans plusieurs filiales, en les qualifiant du quolibet de «facteurs volants». Cela illustre de façon surprenante que les changements stratégiques dans les organisations sont la plupart du temps mal expliqués, mal compris et surtout mal vendus.

Les talents individuels, stars parfois capricieuses, onéreuses et infidèles, suffisent-ils à construire la performance collective? Etude dans les Knowledge-Intensive Firms.

Parti de presque rien il y a 20 ans, Angelo Vicario est désormais une figure du climat social en organisation: sa société Vicario Consulting SA emploie 40 personnes, avec des locaux à Genève, Neuchâtel, Martigny, Berne, Zurich et Lugano. Dans une interview vidéo accordée à HR Today, il explique - entre autres - qu'il y a 20, voire 10 ans, les réalités telles que le harcèlement ou le burn-out n'étaient pas mises sur la table. A l'inverse, aujourd'hui, "on a le courage de dire que ces aspects ne sont pas admissibles en entreprise".

Le DRH de Sensirion (fabricant de capteurs) n’hésite pas à innover pour augmenter la visibilité de sa marque employeur. «Si vous voulez atteindre les profils atypiques et brillants, il faut oser se démarquer», dit-il.

Fondateur et président de l’événement culturel «Tous en Chœur», Pierre Smets détaille ici la mécanique humaine et bénévole derrière ce concept unique en Suisse.

Les générations Y et Z ont grandi avec une console de jeu à la main. Elles en connaissent les codes et apprécient cette manière ludique d’être reliés
avec les autres.

Montrer ses émotions au travail est un sujet qui divise. Quelqu’un qui pleure est particulièrement mal vu. Mais interdire de montrer ses émotions dans la sphère professionnelle n’est pas la solution non plus. S’autoriser à verser une larme va dépendre de la situation et du moment, s’accordent nos deux intervenants.

Une fois l’indication d’une médiation posée, elle pourra être mise en route: préparation du terrain, identification du problème, esquisse des solutions et choix de l’option finale pour sortir de l’impasse.

Si l’intrapreneuriat a été encouragé pour améliorer la compétitivité de grandes organisations (la playstation, Nespresso, le bouton «like»), il est désormais le reflet d’une véritable quête de sens à donner à soi, au travail et à l’organisation en tant que telle.

Gérer une entreprise est une course de fond. Donnez à vos collaborateurs les moyens d’assurer par eux-mêmes la régulation de leurs humeurs et comportements (soft skills) et vous obtiendrez une entreprise aux performances et à une adaptabilité non plus maximales, mais optimales et durables.