Nathalie Leschot est la DRH de la Suva depuis 2021. Dans un contexte de transformation numérique et organisationnelle, elle supervise plusieurs grands chantiers RH, avec le développement culturel et un accent mis sur le bien-être numérique.
De plus en plus d’entreprises se posent la question de l’instauration d’un dress code ou vêtement d’image pour leurs employés. Cette progression s'accélère dans les sociétés de service, car il fait partie de leur identité visuelle face à la concurrence.
Vingt entreprises ont décroché cette année le label « Friendly Work Space ». Cette distinction leur a été remise par Promotion Santé Suisse afin de récompenser leurs efforts systématiques pour optimiser leur politique dans le sens de conditions de travail favorables à la santé.
L'importance du travail en équipe croît en même temps que la technicisation, conclut Randstad. Selon la dernière édition d'une enquête menée auprès de salariés, plus de 60% des employés consacrent aujourd'hui plus de temps à la coopération avec leurs collègues qu'il y a cinq ans.
Les niveaux hiérarchiques sont de plus en plus dilués, les collaborateurs toujours plus accessibles (via e-mails, sms, réseaux sociaux et culture d’entreprise où le tutoiement prévaut). Le manager ne peut donc pas jouer son rôle de filtre dans toutes les situations et les collaborateurs ne savent pas toujours dire non à la demande d’une personne placée plus haut dans l'organigramme. De même, il semble tentant, lorsque l’on n’a pas eu gain de cause avec son supérieur direct, de formuler ses demandes directement à son N+2. Ce genre de situations déstabilise le chef de proximité et peut, à terme, le rendre inopérant sur le groupe. Une clarification des rôles s’impose.
Démissions, grèves, négociations salariales, nominations, droit du travail: chaque semaine, hrtoday.ch sélectionne les meilleures dépêches de l'ats (Agence télégraphique suisse) en lien avec l'actualité RH suisse et internationale.
Plus d'un million des 4,9 millions de travailleurs en Suisse souffre de stress excessif et deux millions d'épuisement plus ou moins important sur leur lieu de travail. Ce surmenage coûte quelque 5,6 milliards de francs par an à l'économie suisse.
Sheba Corti est DRH du Département de l’environnement, des transports et de l’agriculture (DETA), à l’Etat de Genève. Elle a réalisé un Master RH sur l’impact de la Paix du travail sur le processus de négociation d’une CCT (convention collective de travail), aux Universités de Genève, Lausanne, Neuchatêl et Fribourg.
Le certificat de travail complet doit être établi de manière bienveillante, car il a pour but d’encourager l’avenir professionnel et économique du travailleur et de donner une image aussi fidèle que possible de son comportement et de sa performance (JAR 2004 p. 598).