Le nouveau magazine HR Today est sorti! Le dossier de cette édition explore les mécanismes du changement en entreprise et le rôle des RH pour mieux accompagner ces processus.
Alors que l'économie suisse est en pleine forme, les 50+ en recherche d'emploi ne profitent pas de cette croissance. Telles sont les conclusions d'une enquête menée par MC-T.
Trois questions à Irenka Krone-Germann, auteur d'une enquête sur le jobsharing en Suisse.
Actuellement, les jeunes ne peuvent en théorie pas effectuer de travaux dangereux. Des exceptions sont cependant prévues pour de nombreuses professions, comme les électriciens, les armuriers ou les bûcherons. L'âge minimum prévu dans le cadre de ces exceptions devrait désormais passer de 16 à 15 ans.
Birgit Peeters est l’auteur du dernier Dossier HRM, consacré au jobsharing et au télétravail. Interview.
En marge d'un portrait d'elle publié dans HR Today 5/2013, Geneviève Morand a accordé une courte interview vidéo à HR Today. Elle résume ici son champ d'activité et pourquoi elle a toujours été douée pour se connecter avec les gens. Fondation La Muse, Lausanne, le 20 août 2013. Images et montage: Pierre-Yves Massot. Interview: Marc Benninger. Tous droits réservés à jobinex media ag.
Les grandes et moyennes sociétés actives dans le secteur de la logistique, de l’alimentation et de l’industrie sont les mieux notées par leurs apprentis en Suisse. Selon une étude de la plateforme kununu.com, Coca-Cola HBC Suisse, Geberit International et Kühne + Nagel sont les trois meilleures entreprises formatrices du pays.
Conscients que la work-life balance est essentielle à une vie saine, les travailleurs helvétiques accordent notamment de l’importance aux activités sportives. Beaucoup plus que leurs homologues d’autres pays, ils estiment qu’être en forme relève de leur propre responsabilité, selon le dernier Baromètre du travail de Randstad.
Les Suisses ne cherchent pas un emploi de la même manière qu'il y a dix ans. Selon un sondage de JobCloud, la multiplication des canaux et des supports ont fait fortement évoluer les tendances, ainsi que les attentes des candidats.
Lors du scrutin du 18 mai prochain, les Valaisans se prononceront sur les plans fédéral et cantonal sur la question d'un salaire minimum. L'initiative cantonale, faite sur mesure pour le Valais selon ses initiants, revendique 3500 francs bruts par mois minimum.